¿Quién se casó con Napoléon Ier?

  • Josefina de Beauharnais se casó con Napoléon Ier el . Napoleón Bonaparte tenía 26 años el día de la boda (26 años, 6 meses y 22 días). Josefina de Beauharnais tenía 32 años el día de la boda (32 años, 8 meses y 14 días). La diferencia de edad fue de 6 años, 1 meses y 23 días.

    El matrimonio duró 13 años, 9 meses y 8 días (5030 días). El matrimonio terminó el .

  • Marie Louise, Duchess of Parma se casó con Napoléon Ier el . Napoleón Bonaparte tenía 40 años el día de la boda (40 años, 7 meses y 17 días). Marie Louise, Duchess of Parma tenía 18 años el día de la boda (18 años, 3 meses y 20 días). La diferencia de edad fue de 22 años, 3 meses y 27 días.

    El matrimonio duró 11 años, 1 meses y 4 días (4052 días). El matrimonio terminó el .

Napoléon Ier: Cronología del estado civil

Napoléon Ier

Napoléon Ier

Napoléon Bonaparte, né le à Ajaccio en Corse et mort le à Longwood sur l’île de Sainte-Hélène, est un militaire et homme d'État français. Il est le premier empereur des Français du au et du au , sous le nom de Napoléon Ier.

Second enfant de Charles Bonaparte et Letizia Ramolino, Napoléon Bonaparte devient en 1793 général dans les armées de la Première République française, née de la Révolution, où il est notamment commandant en chef de l'armée d'Italie puis de l'armée d'Orient. Arrivé au pouvoir en 1799 par le coup d'État du 18 Brumaire, il est Premier consul — consul à vie à partir du  — jusqu'au , date à laquelle l'Empire est proclamé par un sénatus-consulte suivi d'un plébiscite. Il est sacré empereur, en la cathédrale Notre-Dame de Paris, le , par le pape Pie VII, en même temps que son épouse Joséphine de Beauharnais.

En tant que général en chef et chef d'État, Napoléon tente de briser les coalitions montées et financées par le royaume de Grande-Bretagne et qui rassemblent, à partir de 1792, les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : les nombreuses et brillantes victoires de Bonaparte (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à Napoléon un degré de puissance jusqu'alors rarement égalé en Europe, lors de la paix de Tilsit (1807).

Napoléon Ier réforme durablement l'État, en restaurant son autorité et sa primauté. La France connaît d'importantes réformes, qui font de Napoléon l'un des pères fondateurs des institutions contemporaines françaises. En ce sens, les codifications napoléoniennes, dont le Code civil de 1804, permettent de renforcer les libertés individuelles ou l'égalité des citoyens devant la loi, en opérant une synthèse par la garantie de certains acquis révolutionnaires et la reprise de principes traditionnels issus de l'Ancien Régime. L'administration française est réorganisée, avec la création des préfets dans les départements. De même, une nouvelle monnaie émerge, le franc, tandis qu'est instaurée la Banque de France. Le Conseil d'État est également créé, tout comme les lycées.

Il tente également de renforcer l'empire colonial français de l'Ancien Régime en outre-mer. Alors que la révolution haïtienne tourne à la sécession dans cette colonie, Napoléon rétablit l'esclavage en 1802. Toujours pour des raisons politiques, Napoléon revend la Louisiane aux États-Unis en 1803. Il perd cependant la plupart des colonies qui l’intéressaient face aux Britanniques, et perd Saint-Domingue à la suite de l'échec de l'expédition militaire préalable (1802-1803), visant à combattre les indépendantistes.

Il porte le territoire français à son extension maximale en Europe, avec 134 départements en 1812, transformant Rome, Hambourg, Barcelone et Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, roi d'Italie de 1805 à 1814, médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la confédération du Rhin de 1806 à 1813. Ses victoires lui permettent d'annexer à la France de vastes territoires et de gouverner la majeure partie de l'Europe continentale en plaçant les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes : Joseph à Naples puis en Espagne, Louis en Hollande, Jérôme en Westphalie et son beau-frère Joachim Murat à Naples. Il crée également un duché de Varsovie, sans restaurer formellement l'indépendance polonaise, et soumet temporairement à son influence des puissances vaincues telles que le royaume de Prusse et l'empire d'Autriche.

Alors qu'ils financent des coalitions de plus en plus générales, les alliés contre la France finissent par remporter des succès décisifs en Espagne (bataille de Vitoria) et en Allemagne (bataille de Leipzig) en 1813. Son intransigeance devant ces revers lui fait perdre le soutien de pans entiers de la nation française, tandis que ses anciens alliés ou vassaux se retournent contre lui. Amené à abdiquer en 1814 après la prise de Paris, capitale de l'Empire français, et à se retirer à l'île d'Elbe, il tente de reprendre le pouvoir en France, lors de l'épisode des Cent-Jours en 1815. Capable de reconquérir la France et d'y rétablir le régime impérial sans coup férir, il amène pourtant, à la suite de diverses trahisons et dissensions de ses maréchaux, le pays dans une impasse avec la lourde défaite de Waterloo, qui met fin à l'Empire napoléonien et assure la restauration de la dynastie des Bourbons. Sa mort en exil, à Sainte-Hélène, sous la garde des Britanniques, fait l'objet de nombreuses controverses.

Objet dès son vivant d'une légende dorée comme d'une légende noire, il doit sa très grande notoriété à son habileté militaire, récompensée par de nombreuses victoires, et à sa trajectoire politique étonnante, mais aussi à son régime despotique et très centralisé ainsi qu'à son ambition, qui se traduit par des guerres meurtrières (au Portugal, en Espagne et en Russie) avec des millions de morts et blessés, militaires et civils pour l'ensemble de l'Europe. Considéré par de nombreux historiens ou spécialistes militaires comme l'un des plus grands commandants de l'histoire, ses guerres et campagnes sont étudiées dans les écoles militaires du monde entier.

Une tradition romantique fait de Napoléon Ier l'archétype du « grand homme » appelé à bouleverser le monde. C'est ainsi que le comte de Las Cases, auteur du Mémorial de Sainte-Hélène, tente de présenter Napoléon au Parlement britannique dans une pétition rédigée en 1818. Élie Faure, dans son ouvrage Napoléon, qui a inspiré le film d'Abel Gance, le compare à un « prophète des temps modernes ». D'autres auteurs, tel Victor Hugo, font du vaincu de Sainte-Hélène le « Prométhée moderne ». L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore. Par ailleurs, un courant politique français émerge au XIXe siècle, le bonapartisme, se réclamant de l'action et du mode de gouvernement de Napoléon.

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Wedding Rings

Josefina de Beauharnais

Josefina de Beauharnais

Joséphine Bonaparte (French: [ʒozefin bɔnapaʁt], born Marie Josèphe Rose Tascher de La Pagerie; 23 June 1763 – 29 May 1814) was the first wife of Emperor Napoleon I and as such Empress of the French from 18 May 1804 until their marriage was annulled on 10 January 1810. As Napoleon's consort, she was also Queen of Italy from 26 May 1805 until the 1810 annulment. She is widely known as Joséphine de Beauharnais (French: [ʒozefin boaʁnɛ]) or Empress Joséphine.

Joséphine's marriage to Napoleon was her second. Her first husband, Alexandre de Beauharnais, was guillotined during the Reign of Terror, and she was imprisoned in the Carmes prison until five days after his execution. Through her children by Beauharnais, she was the grandmother of Emperor Napoleon III of France and Empress Amélie of Brazil. Members of the current royal families of Sweden, Denmark, Belgium, and Norway and the grand ducal family of Luxembourg also descend from her. Because she did not bear Napoleon any children, he had their marriage annulled and married Marie Louise of Austria. Joséphine was the recipient of numerous love letters written by Napoleon, many of which still exist.

A patron of art, Joséphine worked closely with sculptors, painters and interior decorators to establish a unique Consular and empire style at the Château de Malmaison. She became one of the leading collectors of different forms of art of her time, such as sculpture and painting. The Château de Malmaison was noted for its rose garden, which she supervised closely.

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Lugar de la Boda

París, Isla de Francia, Francia

Napoléon Ier

Napoléon Ier
 
Wedding Rings

Marie Louise, Duchess of Parma

Marie Louise, Duchess of Parma

María Luisa de Austria (en francés:Marie-Louise d'Autriche) nacida como Marie-Louise Léopoldine Françoise Thérèse Josèphe Lucie de Habsburg-Lorraine (María Ludovica Leopoldina Francisca Theresa Josepha Lucía de Habsburgo Lorena),(Viena, Austria, 12 de diciembre de 1791-Parma, Ducado de Parma, 17 de diciembre de 1847) fue Archiduquesa de Austria, princesa de Hungría y Bohemia y la segunda esposa de Napoleón Bonaparte, por lo tanto, emperatriz de Francia desde 1810 a 1814. Luego duquesa en el Ducado de Parma, Ducado de Piacenza y Ducado de Guastalla hasta 1847.​

Hija mayor del emperador Francisco I de Austria, fue entregada en matrimonio en 1810 al emperador de Francia y rey de Italia Napoleón Bonaparte para sellar el Tratado de Schönbrunn entre Francia y Austria, tras la derrota de esta última en la Batalla de Wagram en 1809.

María Luisa se unió a regañadientes a la corte imperial en el Palacio de las Tullerías y pronto empezó a disfrutar de su nueva posición, aunque los franceses no la querían y ella se sentía fuera de casa en el país que, veinte años antes, había decapitado a otra archiduquesa austriaca, su tía abuela María Antonieta de Austria, esposa de Luis XVI de Francia.

Cuando Napoleón fue derrotado en la Guerra de la Sexta Coalición, María Luisa decidió no seguirlo al exilio en la Isla de Elba, sino regresar con su hijo Napoleon II, a la corte de Viena. Tras los Cien Días y la decisiva derrota de Napoleón en la Batalla de Waterloo, la emperatriz, para defender mejor los intereses de su hijo, decidió permanecer leal a su familia de origen, los Habsburgo-Lorena. El Congreso de Viena le otorgó, en 1815, el Ducado de Parma, el Ducado de Piacenza y el Ducado de Guastalla. Tenía entonces solo 24 años.

Duramente criticada por el pueblo francés por haber abandonado a Napoleón en la época de la debacle, María Luisa, que gobernó durante un periodo convulso, logró en cambio, mediante una política ilustrada y social estrechamente seguida por Austria, ser muy querida por el Ducado de Parma y Plasencia que la llamaban "la buena duquesa".​

Tras la muerte de Napoleón, en 1821, María Luisa se casa dos veces por vía del Matrimonio morganático. Su segundo marido fue el conde Adam Albert von Neipperg en 1821, un escudero al que conoció en 1814. Ella y Neipperg tuvieron tres hijos, Albertina de Montenuovo, Guillermo Alberto de Montenuovo y Mathilde. Después de la muerte de Neipperg en 1829, su último matrimonio será con el conde Charles René de Bombelles en 1834. María Luisa murió en Parma en 1847 de pleuresía. Sus restos descansan en la Cripta Imperial de Viena.

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Lugar de la Boda

iglesia de los Agustinos, Innere Stadt, Austria

Padre de Napoléon Ier y sus esposas:

Madre de Napoléon Ier y sus esposas: